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Les fondateurs

Le conseil d'administration
Princesse Constance
de Polignac
Présidente d'honneur

Issue d'une des plus hautes lignées de la noblesse française, la Princesse Constance de Polignac, née en France, a été élevée aux Etats-Unis, en Suisse et en Angleterre. Dès l’âge de 15 ans, elle a effectué de nombreux voyages officiels avec son père, le Prince Guy. De 1963 à 2014, elle a voyagé et séjourné régulièrement en Afrique du Nord, en Afrique Noire, en Amérique du Nord et du Sud, et en Asie, à la recherche de sens et de cohérence, cherchant sa voie et sa vérité auprès des Pygmées, des Hopis, des Jivaros ainsi que d'autres peuples, auprès desquels elle a vécu diverses initiations.

Au fil de sa vie, elle s'est toujours engagée avec coeur et audace au nom de l'intérêt général, établissant des relations diplomatiques entre l’Ordre souverain de Malte et plusieurs pays africains, soutenant la réhabilitation d’hôpitaux et de centres de santé en Afrique Noire, puis développant, dans le cadre des Fondations Polignac, des actions de sensibilisation à la musique classique, soutenant les jeunes talents, accueillant des chantiers internationaux de jeunes et des chantiers d’insertion sur les sites patrimoniaux des Fondations qu’elle préside, etc.

Ainsi, en 1997, elle a créé la Fondation Forteresse de Polignac afin de procéder à la renaissance et à la mise en valeur globale de la forteresse, berceau des Polignac près du Puy-en-Velay, la rendant accessible aux publics. Elle a créé les Ateliers Polignac "L'art et l'enfance" dans la Maison des Arts et de l’Artisanat à Bilhac, achetée par la Fondation dans cet objectif d'initiation artistique.

Tout en optimisant le Festival de musique Polignac qui a fêté ses 30 ans en 2015, la Princesse a également revitalisé le domaine de Kerbastic, dans le Morbihan, autre site lié à l’histoire de sa famille, en l’orientant vers les valeurs du développement durable jusqu’à en faire un modèle d’agroécologie.

Elle a créé en outre les "Itinéraires Polignac", chemins de trans-formation destinés particulièrement aux artistes et aux entrepreneurs pour créer des synergies entre ces deux mondes.

 

De ses expériences passées au contact des peuples premiers, elle a rapporté ce respect du lien entre l’Homme et la Terre. Insistant sur l’importance de la dimension spirituelle et d’une vie en communion avec la nature, éprise de liberté et d’authenticité, Constance de Polignac est une princesse qui échappe aux codes et aux étiquettes de son milieu. C’est une princesse « en révolution », souhaitant participer à instaurer un nouveau cycle de la Terre. Pour elle, être princesse (« princeps ») signifie que l’on est candidat à la souveraineté intérieure et non pas attaché à la soif de pouvoir.

 

On peut noter de plus que la Princesse est une sportive de haut niveau : tennis, natation, ski, parachutisme...

 

A travers la Fondation Polignac-Kerjean et désormais aussi à partir de Ker’Cognita, elle appelle à une vision autre de l’Humanité et de son avenir, en proposant un art de vie qui respecte l’équilibre et l’harmonie entre « art, nature et santé », concept innovant mis en place au domaine de Kerbastic.

 

La Princesse a épousé en 1963 le comte de Nattes, décédé le 6 août 1994. Elle a deux enfants, Jean-Béranger, Marquis de Nattes, et Soubeyrane de Nattes, et deux petits-enfants, Pacôme et Castille.

 

 

Le parcours de la Princesse Constance de Polignac évoqué par Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture et de la Communication, quand elle a été faite Chevalier dans l’Ordre national de la Légion d’Honneur  :

Sébastien Fanti
Président

Avocat, doctorant en droit dans le domaine des technologies avancées, Sébastien Fanti exerce son activité au sein du réseau international Lexing composé d’avocats technologues. 

 

Féru de développement durable et de gestion responsable des ressources, il a pris part au premier tour du monde à l’énergie solaire (planetsolar). Il est l’un des fondateurs et administrateurs du projet SolarStratos (http://www.solarstratos.com) qui vise notamment à promouvoir le développement durable de l’efficacité énergétique et à réaliser des écoaventures. Le premier avion commercial solaire biplace de l’histoire est en cours de conception et effectuera son premier vol durant l’année 2016. Ce sera également le premier avion solaire avec pilote à pénétrer la stratosphère. 

Sébastien Fanti s’est également associé à l’exploratrice (snowboardeuse, pilote de wingsuit et conférencière) Géraldine Fasnacht qu’il assiste dans l’organisation de projets, dont celui qui vise à voler avec un aigle pour réaliser les premières vraies mesures de performance aérienne de cet oiseau (geraldinefasnacht.com/projets/vol-avec-l-aigle).

 

Écrivain ("Alcatraz numérique", Xenia Editions, 2009 ; http://www.babelio.com/livr…/Fanti-Alcatraz-numerique/168911) et rédacteur au sein de revues juridiques de référence (medialex, Revue du Droit des Technologies de l’Information de l’Université de Namur) et membre du comité des droits de l’homme numérique de l’Union Internationale des Avocats, Sébastien Fanti participe au débat sur l’avenir des normes en cette matière, avec le souci de l’homme comme point cardinal de réflexion. 

En 2014, il a été élu pour 4 ans au poste de Préposé à la protection des données et à la transparence par le Parlement de son Canton, le Valais. À ce titre il assume le rôle de vigie aussi bien quant à la sécurité des données que quant à leur accès s’agissant des documents officiels.

 

Pour que ce portrait soit complet, il faut ajouter que Sébastien Fanti est un accro de la robotique et un grand amateur de mode et de design, passions qu’il partage volontiers avec ses quatre enfants, ses empreintes dans le monde moléculaire.

Une vie tournée vers les défis, sans aucune limite. «Je dis toujours à mes enfants : soyez polis, mais soyez fous.» 

Pierre Rabhi
Vice-Président

Paysan, écrivain et penseur français d'origine algérienne, Pierre Rabhi est l’un des pionniers de l’agriculture écologique en France. Il défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles accessibles à tous et notamment aux plus démunis, tout en préservant les patrimoines nourriciers.

 

Depuis 1981, il transmet son savoir-faire en Afrique, en France et en Europe, cherchant à redonner leur autonomie alimentaire aux populations. Il est aujourd'hui reconnu expert international pour la sécurité alimentaire et a participé à l’élaboration de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification.

 

Pierre Rabhi appelle à "l'insurrection des consciences" pour fédérer ce que l'humanité a de meilleur et cesser de faire de notre planète-paradis un enfer de souffrances et de destructions. Devant l'échec de la condition générale de l'humanité et les dommages considérables infligés à la Nature, il nous invite à sortir du mythe de la croissance indéfinie, à réaliser l'importance vitale de notre terre nourricière et à inaugurer une nouvelle éthique de vie vers une "sobriété heureuse".

 

Pierre Rabhi a été à l’origine de nombreuses structures, nées de sa propre initiative ou de ses idées : ainsi l’association Terre & Humanisme (d’abord appelée “Les Amis de Pierre Rabhi”), le Mouvement des Oasis en Tous Lieux, le centre agroécologique Les Amanins, la Ferme des enfants-Hameau des Buis et plus récemment le Mouvement Colibris.

 

Il est sollicité pour de nombreuses conférences dans le monde, et a publié plus d’une vingtaine d’ouvrages dont “Vers la sobriété heureuse”, "Pierre Rabhi, semeur d’espoirs – entretien avec Olivier Le Naire" ou encore "L’Agroécologie, une éthique de vie" (Actes Sud) et "La puissance de la modération" (Éditions Hozhoni).

 

 

 

 

 

 

Jean Jouzel
Vice-Président

Paléo-climatologue et glaciologue, Jean Jouzel est une référence mondiale dans le domaine des sciences de l'univers. Directeur émérite de Recherches au CEA, Jean Jouzel a fait dans cet organisme l'essentiel de sa carrière scientifique largement consacrée à la reconstitution des climats du passé à partir de l'étude des glaces de l'Antarctique et du Groenland.

 

Il a reçu le 17 janvier 2012 le prix Vetlesen, récompense prestigieuse considérée comme le Nobel des sciences de la Terre et de l’Univers.

Avant son prix Vetlesen, Jean Jouzel avait déjà reçu deux prestigieuses récompenses :

- en 2002 il a été co-lauréat de la médaille d’or du CNRS, plus haute distinction scientifique française ;

- il a été de 2002 à 2015 Vice-Président du groupe scientifique du GIEC, co-lauréat avec Al Gore du Prix Nobel de la Paix en 2007.

Au cours de sa carrière, il a reçu d’autres nombreux prix et distinctions: Prix Philip Morris en climatologie (1992), la médaille Milankovitch (1997), le prix de l’Académie des Sciences (1999), l'Ippolito Award de l'Italian Academy of Sciences (2000), le Selby Fellowship de l'Australian Academy of Sciences (2001), la médaille Roger Revelle (2003), le prix Descartes pour la Science (2008), la médaille d'or de l'Académie d'Agriculture de France (2015). 

Il est Officier de la Légion d’Honneur et Commandeur dans l’Ordre National du Mérite.

 

De 2001 à 2008, il a été directeur de l’Institut Pierre-Simon Laplace (IPSL), qui fédère les laboratoires de la région parisienne travaillant sur le climat et l’environnement. Il est ou a été membre de nombreux conseils et a présidé le Haut Conseil de la Science et de la Technologie de 2009 à 2013. Depuis 2010, il est membre du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE).

 

Jean Jouzel est auteur ou co-auteur de plus de 400 publications, dont environ 300 sont parues dans des revues internationales de rang A (dont près de 50 publications dans les revues Nature ou Science), ce qui fait de lui un des auteurs les plus cités dans le domaine des sciences de l'Univers.

 

Aujourd’hui, Jean Jouzel intervient auprès des politiques, des médias et aussi des enfants, pour faire prendre conscience de la nécessité d’agir au plus vite contre le réchauffement climatique.

 

Ses interventions sur France Inter : 

 

Jean-Pierre Le Goff
Secrétaire général

Passionné de mer et de voile, Jean-Pierre Le Goff sort diplômé de l'Ecole Centrale de Nantes en Hydrodynamique Navale en 1977.

Créateur d’entreprises au parcours atypique, c'est un homme fidèle à des valeurs authentiques.

Il travaille pendant huit ans au Ministère de la Défense (DRET) où il coordonne et finance les études amont dans les domaines de la mécanique des fluides, des bruits et vibrations avec un objectif majeur : un SLNE silencieux ! Gros budget, grande liberté d'action, logique Top Down... 

Une année de Visiting Scientist (1983) en Californie, à la Navy School de Monterey lui ouvre l'esprit.

A son retour il se consacre au transfert de recherche puis quitte la DGA pour créer la société SIREHNA (R&D et transfert technologique dans les domaines Naval, Offshore, Energies-NOE) auprès de l'ECN, avec THALES, IFREMER, ALSTOM comme actionnaires aux côtés de nombreux chercheurs de l'Ecole. De très nombreux succès, mais un échec à fédérer les centres d'études navales français. 

En 1989, la chute du mur de Berlin l'incite à chercher son financement à Bruxelles (en 20 ans , plus de 60 contrats de  R&D européenne, soit 1/8 du flux financier vers la France dans le domaine «Waterborne »).

Il crée également à Saint-Pétersbourg KRYEHNA, une JV, avec l'Institut KRYLOV, grand centre d'études navales russe. Une superbe expérience. 

Au fil des ans, il rachète avec ses salariés la quasi-totalité du capital de SIREHNA et décide de transférer pour lui-même les logiciels développés en laboratoire pour les installer sur des calculateurs embarqués de contrôle dynamique des navires (Stabilisation, Positionnement , Drones, Appontage...). 

En 2008, il revend SIREHNA à DCNS et réinvestit via sa holding CIRANOE dans plusieurs sociétés (Mauric, Sitia, Sibiril...) et reprend plus récemment Henriot-Quimper, célèbre manufacture bretonne de Faïence, tricentenaire, qu'il redéploye, en appliquant dans le domaine de l'Art et du Design les mêmes recettes qu'en technologie.

 

 

La devise de Jean-Pierre Le Goff : les Racines du Futur ! 

Sa fierté : pompier de l’ISO 9000 ! (sans jamais avoir été certifié... ).

Son rêve : inventer la « transformée de Fourier » politico-médiatique…

Raphaël Mitri
Trésorier

Expert-comptable et Commissaire aux comptes 

 

Sensible à la protection de l’environnement, Raphaël Mitri privilégie depuis toujours les éco-gestes au quotidien. Il est notamment un ardent défenseur de l’éco-mobilité. C’est pourquoi mettre ses compétences en gestion et en finance au service du projet de Ker’Cognita lui a paru une évidence.

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